Numéro 3 • 25 mars 2023
Affiche "Non aux escrol'eau" contre les bassines dans les Deux-Sèvres


EAU VOLEURS !

Là aussi, on ne lâchera pas
24, 25 ET 26 MARS 2023
ON EST AUX BASSINES

La préfecture des Deux-Sèvres a interdit par arrêtés toute manif et tout rassemblement les 24, 25 et 26 mars. Elle considère en effet que les organisations à l'origine de ces "mobilisactions" (Bassines Non Merci !, Soulèvements de la Terre, Confédé…) sont connues pour "Ieurs incitations à la désobéissance civile ainsi que pour Ieurs actions radicales et violentes ; qu’elles appellent sans discontinuer les militants à converger massivement sur le territoire des Deux-Sèvres afin de stopper, par tous moyens, y compris et notamment la destruction ou la dégradation, le fonctionnement ou la création des retenues de substitution". Et elle a bien raison la Préfecture des Deux-Sèvres ! Mais là où elle se plante, c'est qu'autorisé·e·s ou pas, quoiqu'il advienne, on y est, et en masse, à Sainte-Soline et à Mauzé-sur-le-Mignon !

Au cœur du bras de fer : le partage de l'eau ! Les bassines, ce sont de gigantesques trous dans la terre (qui peuvent aller jusqu'à dix hectares) remplis par le pompage des nappes phréatiques. Ce pompage abaisse le niveau de la nappe et met en danger le système hydrographique. De plus il aboutit à une privatisation sauvage de l'eau, bien public, qui est ensuite revendue. Ces bassines permettent les irrigations abusives d'un système agro-industriel qui écrase les paysan·ne·s. Ces bassines abîment les paysages, saccagent les équilibres naturels. Ces bassines ne sont en aucun cas une réponse adaptée face au dérèglement climatique. Parce qu'elles mettent en danger l'approvisionnement équitable et raisonné en eau, ces bassines ouvrent grand les bras à l'effondrement.

Réforme des retraites et mégabassines participent d'une même logique qui agresse les fondements même de notre démocratie. Passages en force après passages en force, notre République est mal en point. L'intelligence et le bon sens n'ont pas d'espace. Seule riposte : le rapport de force ! Rébellion ! Résistance ! Entraide ! Solidarité ! Partage, partage, partage ! Partage des richesses ! Stop à la mainmise permanente des intérêts économiques sur nos biens communs.

Potes de luttes, fermes en résistance, paysan·ne·s, collectifs citoyen·ne·s, assos, syndicats, ONG, partis politiques… donnons-nous la main.


Photo d'une inondation
EAU : c'est la vie

Les ressources en eau de surface ou souterraines, indispensables à la vie, doivent être protégées et il est vital de mettre en place des outils pour garantir un accès équitable à l’eau, en dehors de tout profit et spoliation. La qualité de l'eau est garante de la santé humaine et de l’équilibre de la biodiversité. L’eau, c’est l’or bleu !!! Aujourd’hui privatisée, achetée, vendue, boursicotée… mais aussi contaminée, polluée, mal utilisée et en voie d’extinction ! Accompagner les changements de pratiques de tous les acteurs privés comme publics est une nécessité. Rétablir la transparence et l’équité dans la gestion de l’eau et de l’assainissement, mettre en place des instances de conseil, de contrôle et une réelle politique sociale de l’eau est primordial. Changer nos modes de consommation, de production, et de gouvernances en France comme ailleurs est indispensable. La synthèse des six derniers rapports du GIEC est sans appel : le réchauffement climatique s’accélère et l’homme en est bel et bien responsable. Les impacts sont déjà visibles et les plus vulnérables en sont les premières victimes. La fenêtre des opportunités qui doit permettre de sécuriser un futur viable et soutenable pour toutes et tous se referme rapidement. Pourtant des solutions existent ! Réagissons, agissons, ne les laissons plus faire ! Il en va de notre survie !

Photo de gallets dans un ruisseau
EAU : un projet tiré par les chevelus

En 2015, la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) a tenté de faire déclasser le "chevelu hydrographique", ce réseau de petits cours d’eau qui alimente les rivières. Un nouveau concept est apparu : le "non-cours d’eau". Si un ruisseau n’est plus un cours d’eau au sens légal, on peut s’exonérer des zones non-traitées (ZNT) imposées par la loi sur l’eau ! Et hop, ainsi on pollue au plus près de la ressource en eau ! Avec l’approbation du gouvernement Valls, entre 40 et 50 % des cours d’eau ont failli être "rayés de la carte". Le projet a avorté, grâce à l’action des associations de protection de l’environnement qui ont fait casser en justice plus de 40 arrêtés. Sur la carte IGN au 25000ème, tous les cours d’eau en pointillé ou en trait continu relèvent de la loi sur l’eau. Un cours d’eau intermittent, même s’il semble à sec une partie de l'année, continue à abriter une biodiversité. Souvent l’eau coule en sous couche. Alors que la France s’est engagée auprès de l’Europe à atteindre un bon état écologique des cours d’eau d’ici à 2027 on entend encore aujourd’hui la FNSEA définir le cours d’eau comme "une entrave au développement agricole" !


NUCLÉAIRE

Note bien la date du 3 juin 2023 dans ton agenda
Dessin d'un sigle nucléaire enfermé dans un sac poubelle
Grande mobilisaction anti-nucléaire à Bure (Meuse)

Les opposant·e·s au projet CIGÉO d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure s'inquiètent bruyamment d'une accélération du projet et d'un passage en force (en effet, on connaît !). Iels appellent à une mobilisation d’envergure le 3 juin 2023 autour du site. …Suite dans le prochain numéro de REBELLES, La Gazette, compte sur nous.

Voir le site Bureburebure

POUR NOS RETRAITES

Avec nos parents, nos enfants, nos ami·e·s, nos voisin·e·s
ON EST LÀ, ON EST LÀ…
MÊME SI MACRON NE LE VEUT PAS, NOUS ON EST LÀÀÀ…
Photo de manifestants place de la Bastille à Paris

Photo publiée avec l'aimable autorisation du talentueux photographe Claude Szmulewicz.

Photo avec une pancarte "Prenons soin des gens SVP"
Chorale bretonne

"On n'en veut pas !", chante en cœur la chorale quimpéroise Kanit'Ta.

Voir et écouter la chanson “On n'en veut pas !” (2,50 mn)
Photo de manifestants à Paris
Son francilien

“Révolution ! Révolution ! Révolution…" souffle la foule traversant Paris à la tombée de la nuit.

Écouter le souffle de la résistance (9 s)
Photo de "Gilets jeunes" à Avignon
Clameur
vauclusienne

"Nous sommes la jeunesse et nous allons nous battre" scandent de concert bras levés les Gilets jeunes à Avignon.

Apercevoir les "Gilets jeunes" en action (9 s)
Photo de Macron à la télé
Tu as entendu le Méprisant de la République à la télé l'autre jour ? Ça ne t'a rien rappelé ?

Tu sais à quoi Macron nous a fait penser ? C'est tellement évident, tellement flagrant ! Par sa manière de s'arranger avec les mots, sa manière de justifier un autoritarisme qui insulte la démocratie, sa manière de répondre à côté avec un air suffisant, responsable, efficace, subtile langue de bois manipulatrice pour expliquer par exemple que la réforme des retraites a suivi un process parlementaire normal étant donné l'échec des motions de censure… Donc tu sais à quoi il nous fait penser le Macron ? Ben à EÉLV ! À certain·e·s politicien·ne·s qui nous entourent et qui ont perdu – si tant est qu’iels l’aient eu un jour ? – le sens même de l’engagement tant iels roulent pour leurs intérêts propres et ceux de leur Landerneau. Tant iels oublient qu’iels sont élu·e·s en interne comme en externe pour nous représenter ! Cette banalisation d’une forme de petite corruption intellectuelle à laquelle nous sommes confrontés·e·s régulièrement dans les réseaux politiques en général et dans notre mouvement en particulier nous travaille.

Voir la vidéo de Macron en flagrant délit de mensonge
Melting pot de photos de manifestations contre la réforme des retraites
Ici, tu t'abonnes à REBELLES, La Gazette (ou tu te désabonnes)  

CONGRÈS RÉGIONAUX D'EÉLV

Voici venu l'instant
des rires et des chants
Dans l'île aux militants,
c'est (pas) tous les jours
le printemps…

Dessin d'une petite foule rassemblée en forme de cœur
Dessin de Guignol
Rhône-Alpes :
les marionnettistes, une tradition. Merci Guignol !

Un congrès régional très consensuel qui a élu un Conseil politique régional (CPR) tout aussi consensuel (mais avec quelques rebelles "infiltré·e·s"…). Les problèmes commencent quand un adhérent demande des explications sur le bilan financier. Les finances de Rhône-Alpes vont bien, mais nous aimerions savoir où sont "planqués" les 600000 euros de trésorerie accumulés ? De même, la région est majoritaire dans deux SCI propriétaires de trois locaux, à Grenoble, Lyon et Saint-Étienne… Des détails s’il vous plaît ? Réponse parcellaire : "Ce sont des questions trop techniques que nous pourrons voir plus tard en CPR…" L’assemblée n’est pas assez intelligente pour comprendre… ! Élection (nomination, cooptation ?) du Bureau exécutif régional (BER) : les neuf premiers·ières de liste parmi les seize membres du CPR issus du congrès seront d'office les membres du BER. Ça ne choque personne à part quelques rebelles qui posent des questions trop gênantes. Un énergumène drômois qualifié de "poil à gratter" dépose sa candidature pour entrer au BER au titre de la représentation des territoires ruraux et d'une nécessaire et constructive opposition au sein de l'exécutif. Qu’est-ce qu’on fait de cette candidature ? Et bien on lui propose un "strapontin" : siéger au BER en tant qu’observateur sans droit de vote. Cool, non ? Non. Résultat : le BER d'EÉLV Rhône-Alpes ne comprendra pas de rebelles. Un show de marionnettiste qui n’honore pas le mouvement dont décidément le fonctionnement vertical devient plus qu’inquiétant.

Contacter les rebelles rhônalpin·ne·s
Provence-Alpes-Côte d'Azur :
nouvelle tutelle politique. On est là… on est là… 

"Je vous informe que le BE réuni le mardi 14 mars 2023 a pris la décision suivante : la mise sous tutelle de la région PACA pour dysfonctionnements graves et récurrents mettant en cause l’intégrité du mouvement." C'est ainsi que nous avons appris, très surpris, le 18 mars, via un courrier signé "Claire Desmares et François Thiollet, co-SNA EÉLV" (assistés par Gérôme Gulli et Hélène Hardy) que PACA est à nouveau sous tutelle et que le CPR est devenu "consultatif". Cette tutelle fait suite à la "demande écrite de plusieurs membres du BER de mise sous tutelle" est-il indiqué dans le compte rendu du BE du 14 mars. En effet, n'ayant pas la majo au CPR, ces derniers ont appelé leurs allié·e·s du BE à la rescousse pour –entre autres choses trop longues à développer ici – les aider à empêcher le CPR de se prononcer sur une proposition de réforme du RI régional dont l'objectif est une juste représentation de tous les territoires de PACA, notamment ruraux et montagnards. Le principe proposé : "un groupe local = une voix au CPR". Le CPR venait de voter en faveur d'un audit sur la région. Aucun contradictoire n’a été réalisé avant la mise sous tutelle par le BE ! Des adhérent·e·s transcourants de la région signataires de La Suite, du Printemps écolo, de Terre, de Rébellion ! Construction… ont demandé le 20 mars une audition au BE, qui a été refusée. Seule une neutralité politique absolue de la tutelle, autrement dit n’empêchant pas la légitime démocratie de s’exprimer, permettra de reconstruire en PACA une confiance perdue depuis la catastrophe restée sans bilan de la précédente tutelle des régionales. À suivre de près les ami·e·s.

Contacter les rebelles pacaïen·ne·s
Photo de mains formant un cœur
Île-de-France :
la motion unique ou comment faire passer les carrières avant les idées ?

Pour permettre à ses "élites" de rester dans l’entre soi, certaines régions EÉLV ont inventé la "motion unique". À l’image du Bureau exécutif (BE), elle permet de faire passer les personnes et leur carrière avant leurs idées. Pour cela, il faut se mettre très tôt d’accord entre "têtes de gondoles", c’est-à-dire entre celles et ceux qui auront in fine accès aux fonctions convoitées. Une fois acté cet accord, on rédige une motion d'orientation régionale suffisamment longue et qui dit tout et son contraire pour que peu d’adhérent·e·s la lisent et que tout le monde s'y retrouve. Exemple : "On privilégiera les alliances à gauche et avec les forces progressistes". Un tel texte permet d’agréger toutes les tendances et de ratisser un grand nombre de signataires en leur serinant le refrain : "On est tou·te·s des écolos, pas vrai ? Alors aucune raison de se battre pour des idées différentes". Pour décourager toute alternative à cette "motion unique", si d'autres dynamiques tentent de se présenter, comme c’est vous qui recevez et contrôlez les listes de signataires, rien de plus facile que de suggérer à certain·e·s de retirer leur signature (on peut le faire après la date limite de dépôt des listes). Ainsi, avec un peu de chance, les éventuelles motions "dissidentes" ne pourront aller jusqu’au vote du congrès régional faute de signataires. De la fiction ? Ben, non ! Ça se passe en Île-de-France !

Contacter les rebelles francilien·ne·s
Ici, tu t'abonnes à REBELLES, La Gazette (ou tu te désabonnes)  

L'HUMEUR
L'HUMOUR
L'AMOUR
de Christian
Déconstruire pour mieux construire, un webinaire constructif !

En recevant l’invitation à ce webinaire lancé par la commission Habitat-Urbanisme d’EÉLV, je me suis demandé ce que Sandrine Rousseau venait faire là-dedans. Rien à voir, on parle de BTP, de maisons ou de travaux publics. Très intéressant, très bien mené : bravo la commission !

Quelques chiffres pour illustrer l’enjeu : plus de 40 millions de déchets de démolition produits par an, environ 50 permis de démolir posés par jour, 30 kilos de nature pour produire 10 kilos de produits industriels du bâtiment. Même si en tant qu’artisan du bâtiment, j’essaye au maximum "d’écoconstruire" et même si j’utilise pour moi-même le système "récup’", mais souvent en second œuvre, j’ai découvert la systématisation expérimentale de la déconstruction et du réemploi. Structures bois, toitures, huisseries, parquets, et même plaques de plâtre peuvent être démontés soigneusement et réutilisés. L’architecte biarrote Laurane Lascurin a même signé avec une petite commune du Pays basque un marché de construction d’une salle polyvalente entièrement bâtie avec des matériaux de réemploi. Une filière nouvelle se crée, associant "démolisseurs", plateformes de stockage, architectes, bureaux d’études, artisans et entreprises. On va plus loin que le recyclage, on est dans l’économie circulaire. Mais surtout, on inverse la proportionnalité capital/travail dans l’équation économique. Pour détruire une maison, on utilise une personne pendant deux jours (travail), une pelleteuse mécanique et un poids lourd (300 000 € de capital). Pour déconstruire, trois personnes pendant trois mois (travail) et très peu de matériel. Création d’emploi avec du sens, économie circulaire, préservation des ressources, tout est bon dans la déconstruction. Et le coût ? Peu de recul actuellement sur le chiffrage, mais les architectes présent·e·s à ce webinaire étaient d’accord pour estimer une équivalence globale de prix de revient entre déconstruire-reconstruire et construire avec des matériaux neufs.

Voir le site de la commission Habitat-Urbanisme EÉLV

LA VIE REBELLE

Des libertaires qui bossent (et qui se marrent) !
Tache rebelle rouge
Le cercle de parole sur la paix et l'Ukraine

"Un an de guerre en Ukraine : comment retrouver le chemin de la paix ?". Cette initiative ouverte faisait suite à des débats spontanés sur l’Ukraine et la paix que RÉBELLION ! CONSTRUCTION tenait à quasiment chacune de ses réunions plénières. Ce cercle de parole a réuni le 19 mars, à 21h, en visio, pendant 1h1/2 une vingtaine de personnes majoritairement motivées par des positions pacifistes. Pour autant, les opinions, parfois contradictoires, ne se sont pas affrontées. Chacun·e, parce que c'était le principe, a pu s'exprimer librement sans crainte d'être jugé, avec ses certitudes et ses doutes. Ses intuitions, son affect, ses connaissances. Nous avons fermé ce cercle de parole en faisant toutes et tous le constat que ce débat libre, dénué d'agression, nous avait enrichi·e·s, éclairé·e·s et que la parole a grandement besoin de circuler à EÉLV. Alors nous proposerons d’autres cercles de parole sur des sujets qui nous (pré)occupent.
Une idée de cercle de parole, n'hésite pas : écris ici.

Tache rebelle orange
Le Conseil fédéral des 1er et 2 avril

Voici venu le temps de la préparation du troisième Conseil fédéral (CF) de la mandature, qui se tiendra à Paris les 1er et 2 avril. À l'ordre du jour, des "trucs" hyper importants comme côté cuisine politique (pile) : une motion de cadrage voulue par le BE pour la désignation des candidat·e·s aux Européennes. Motion à laquelle nous nous opposons avec force parce qu'éloignant toujours plus les adhérent·e·s du choix de leurs représentant·e·s ! Côté salon politique (face), 17 motions thématiques, quelques poncifs, mais pas que. Et un immense regret (pour ne pas dire tristesse) : l’édulcoration totale de la nouvelle motion sur le droit de mourir dans la dignité, devenue en quelque sorte "Léonetti compatible"… EÉLV a décidément un problème avec le droit de disposer de son corps, le droit de choisir sa fin de vie ! Et nous ça nous pose un problème avec EÉLV. Nous reviendrons sur cette question et bien d’autres.
Quelle que soit ta région, n'hésite pas à solliciter les six membres du CF de RÉBELLION ! CONSTRUCTION par courriel (en précisant bien "Conseil fédéral" ou "CF" dans l'objet) : Géraldine Boÿer, Didier Chérel, Brigitte del Perugia, Christian Lammens, Renaud Mandel et Pierre Toulouse.


L'IMAGE REBELLE
Un chemin…

Photo de vieilles pompes à essence envahies par la végétation

Photo Philippe Glorieux.


LES "UNES" AUXQUELLES NOUS AVONS ÉCHAPPÉ
En libre service
Trois visuels contre les bassines dans les Deux-Sèvres

"Lorsque vous parlez,
vous ne faites que répéter
ce que vous savez déjà,
alors que lorsque vous écoutez,
vous pourriez apprendre
quelque chose de nouveau."

[Le Dalaï Lama cité par Éric]

Logo de Rébellion ! Construction

OURS


COMITÉ DE RÉDAC REBELLE
Bernard Barré, Géraldine Boÿer, Florence Cortès, Didier Chérel, Philippe Glorieux, Marie-Luz Hernandez Nicaise, Christian Lammens, Renaud Mandel, Éric Mourey, Hervé Murgier

Ont participé à ce numéro :
Michel de Lagausie, Martine Petit, Pierre Toulouse

ICONOS
Bernard Barré, Géraldine Boÿer, Philippe Glorieux, Hélène Poteau, Pixa, Claude Szmulewicz

REBELLES, La Gazette, est coconstruit à l'aide de "Mosaico", un super constructeur italien de courriels html (email builder) gratuit (open source). Alors que nous avons effectué toutes les démarches pour nous assurer de la fiabilité des infos contenues dans la gazette, REBELLES ne peut encourir aucune responsabilité du fait d’erreurs, d’omissions ou pour les résultats qui pourraient être obtenus par l’usage de ces informations. Les contenus de REBELLES peuvent être reproduits, mais exclusivement avec mention de la source : "REBELLES, La Gazette" + un hyperlien pointant vers le contenu original sur le site de RÉBELLION ! CONSTRUCTION : rebellion-construction.fr – merci d’y veiller en toutes circonstances. En conformité avec le RGPD, REBELLES est très attaché au respect de la vie privée. Les données personnelles recueillies sont exclusivement celles que vous fournissez volontairement. Elles sont protégées et réservées à notre usage exclusif pour nous permettre de vous envoyer la gazette et toute info en lien avec REBELLES et RÉBELLION ! CONSTRUCTION. Vos données personnelles ne sont ni communiquées ni vendues à des tiers ni transmises à quiconque à des fins politiques, commerciales ou autres. Vous pouvez accéder à vos données, les rectifier ou en demander la suppression par courriel à : rebellionconstruction@gmail.com

Voir les précédents numéros de REBELLES, La Gazette


 

À bientôt :-))
MOSAICO Responsive Email Designer